Lorsque j’ai fait mon petit stage en bryologie à la fin de l’été 2011, les personnes ressources nous ont répété que les bryophytes poussaient souvent là où on ne s’y attend pas et qu’il y en a beaucoup plus qu’on ne le pense en pleine ville. L’ami qui a suivi ce stage en même temps que moi et qui vit en plein cœur de la basse ville de Québec a tôt fait de me convaincre que c’était bien vrai.
Entre les fentes des trottoirs, sur les murets, sur les arbres, dans l’herbe et même sur les vieilles ...
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